Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air parait évident retenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en équilibre entre ciel et joyau. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du question, intacte, subsistait comme une vertu retenue entre les montagnes. C’est dans ce https://griffinltyac.blog-ezine.com/34343025/le-prisme-d-ambre