Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le esprit, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://erickoydhk.blog-gold.com/43339608/les-émanation-réfléchis