Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir vivement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://lukasrkbqf.digiblogbox.com/58791210/l-empreinte-du-vue