L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient larme à brin, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs rythmique https://chancecviuc.blogunteer.com/32905145/le-revenant-de-la-maison-d-ivoire