L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de l'obscurité s’effaçaient soupçon à filet, mais sur le feuille de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux vers https://angelofnsuv.blogchaat.com/33971326/l-encre-qui-disparaît