Le train filait par l'obscurité, ses roues d’acier glissant sur les rails avec un vacarme presque irréel. Aucun panneau, aucune sorte de paysage compréhension ne défilait par la fenêtre, tels que si la locomotive traversait un cercle suspendu entre le matériel et l’inconnu. Le passager sentit le wagon pervibrer mollement https://johnathannqpol.mpeblog.com/59392737/les-ombrages-du-aria