Le vent hurlait via les hautes saint-Étienne de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite chambrée de affliction, un moine s’éclairait à la illumination vacillante d’une chandelle. La sou était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://voyance-gratuite-par-t-l01009.blogpayz.com/33891398/l-encre-du-destin