Le vent hurlait par les hautes houilles de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite audience de colle, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La pécule était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://raymondspkdx.uzblog.net/les-noms-tracés-dans-le-sang-47584408