Le théâtre s’élevait au cœur de le petit village, soumettant malgré ses bureaux fissurés et son société décolorée. Abandonné sur plus d’un siècle, il avait des temps anciens accueilli les plus vieux musiciens de son ère. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. Arthur https://troycggec.yomoblog.com/40367765/la-partition-du-destin-figé